La vie c'est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit.

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Créé le : 13/05/2006 18:21
Modifié : 15/11/2009 19:39

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22/09/2006 22:29



Besoin de toi

  

Un simple regard,

Tu me redonnes espoir,

Quand mes angoisses surgissent,

Que mes larmes jaillissent,

J’ai besoin de toi,

Tout près de moi.

  

Inutile d’user de grands mots,

Juste sentir ta peau,

Un moment de tendresse,

Apaiser mon âme en détresse,

J’ai besoin de toi,

Tout près de moi.

   

Quand mes larmes roulent parfois,

Ne pense pas «  c’est à cause de moi »

Tu as fait le bon choix,

Je suis fière de toi,

J’ai juste besoin de toi,

Tout près de moi.







 

 

22/09/2006 22:18



L'andalouse

Avez-vous vu, dans alicante,
Une Andalouse au sein bruni ?
Pâle comme un beau soir d'automne !
C'est ma maîtresse, ma lionne!
La marquesa d'Amaëgui !

J'ai fait bien des chansons pour elle,
Je me suis battu bien souvent.
Bien souvent j'ai fait sentinelle,
Pour voir le coin de sa prunelle,
Quand son rideau tremblait au vent.

Elle est à moi, moi seul au monde.
Ses grands sourcils noirs sont à moi,
Son corps souple et sa jambe ronde,
Sa chevelure qui l'inonde,
Plus longue qu'un manteau de roi !

C'est à moi son beau col qui penche
Quand elle dort dans son boudoir,
Et sa basquine sur sa hanche,
Son bras dans sa mitaine blanche,
Son pied dans son brodequin noir !

Vrai Dieu ! Lorsque son oeil pétille
Sous la frange de ses réseaux,
Rien que pour toucher sa mantille,
De par tous les saints de Castille,
On se ferait rompre les os.

Qu'elle est superbe en son désordre,
Quand elle tombe, les seins nus,
Qu'on la voit, béante, se tordre
Dans un baiser de rage, et mordre
En criant des mots inconnus !

Et qu'elle est folle dans sa joie,
Lorsqu'elle chante le matin,
Lorsqu'en tirant son bas de soie,
Elle fait, sur son flanc qui ploie,
Craquer son corset de satin !

Allons, mon page, en embuscades !
Allons ! La belle nuit d'été !
Je veux ce soir des sérénades
À faire damner les alcades
De Tolose au Guadalété 





 

 

22/09/2006 22:10



"Si c'est aimer, Madame, et de jour, et de nuit
Rêver, songer, penser le moyen de vous plaire,
Oublier toute chose, et ne vouloir rien faire
Qu'adorer et servir la beauté qui me nuit:

Si c'est aimer que de suivre un bonheur qui me fuit,
De me perdre moi même et d'être solitaire,
Souffrir beaucoup de mal, beaucoup craindre et me taire,
Pleurer, crier merci, et m'en voir éconduit:

Si c'est aimer que de vivre en vous plus qu'en moi même,
Cacher d'un front joyeux, une langueur extrême,
Sentir au fond de l'âme un combat inégal,
Chaud, froid, comme la fièvre amoureuse me traite:

Honteux, parlant à vous de confesser mon mal!
Si cela est aimer : Furieux je vous aime:
Je vous aime et sait bien que mon mal est fatal:
Le cœur le dit assez, mais la langue est muette."







 

 

22/09/2006 20:43



Son visage est comme une oasis de lumière,
Un refuge exempt de batailles et de guerres.
C’est un phare illuminant mes nuits
Une image qui toujours me sourit
Son regard m’appelle autant que ses murmures
Ses lèvres me réchauffent, me brûlent et me torturent
Je me retrouve au pied du mur 
Je ne peux lutter contre ma nature.

  
Et tous ces mots que j’écris 
Lambeaux ardents de ma vie
Ne suffisent à m’apaiser 
Que le temps de les penser
Et je maudis cette terre
Mais que pourrais-je bien faire
Pour m’approcher un peu du ciel
Et effleurer cette beauté éternelle ?







 

 

19/09/2006 20:25




 







 

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