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08/01/2007 18:22
Dans mes pensées je t'imagine tel un mirage d'espoir en écoutant les vagues dans la solitude du désespoir
Tu étais ma nature en toi vivais mon soleil cette terrible rupture hante encore mon sommeil
Je ne peux plus sourire à cette vie elle m'a trop fait souffrir je voudrais tellement partir d'ici pour enfuir tout ces souvenirs
Un envol majestueux vers le paradis des cieux comme une colombe égaré dans un ciel étoilé
M'envoler de cette société et de ces peines effrénées pour oublier mes malheurs et faner comme une fleur
Je suis au fond du puit avec mes ennuis je bataille des heures au milieu de mes pleurs
Je voudrais qu'ici ma vie se fini pour enfin pouvoir vivre un peu de bonheur...
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08/01/2007 18:01
L'amour est un coffre-fort que mon cœur n'a pu ouvrir c'est un merveilleux trésor renfermant mon avenir
Le cadenas de la douleur uni encore mes peines cherchant la clé du bonheur je me libère de mes chaînes
En ce sombre nouveau jour le soleil berce l'océan en quête d'une goutte d'amour dans cette mer de sentiments
Cette larme si sacrée plus belle perle de la vie que l'ont fini par trouver mais qui lentement nous enfuit
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08/01/2007 16:41
L’amour d’une vie s’imagine quand il n’est pas là. Mais l’imagination n’est pas à la hauteur de la réalité du verbe aimer. Les sentiments ne s’imaginent pas, ils se vivent … Aimer, ressentir, Le temps, les larmes, les rire, Les regards, câlins, bisous avec xxl, Cadeaux, amour, « je t’aime », Jalousie, joie, pour la vie, Pour toujours… Mais l’amour, toujours l’amour, unique sentiment dangereux, …, l’âme en sentiments d’amour.
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15/12/2006 17:21
Avec un coeur chaste Avec des yeux purs je célèbre ta beauté Tenant la bride du sang De sorte qu'il puisse jaillir et tracer ton contour Où tu es couchée dans mon Ode Comme dans une terre de forêts ou dans la vague déferlante Dans le terreau aromatique, ou dans la musique de la mer
Beauté nue Également beaux tes pieds Cambrés par le tapement originel du vent ou du son Tes yeux, légers coquillages De la splendide mer américaine Tes seins de plénitude égale Faite de lumière vivante Tes paupières de blé qui battent Qui révèlent ou recèlent Les deux profonds pays de tes yeux
La ligne que tes épaules ont divisée en pales régions Se perd et se marie dans les compactes moitiés d'une pomme Continue pour trancher ta beauté en deux colonnes D'or brun, de pur albâtre Pour se perdre en les deux grappes de tes pieds Où connaît un regain ton arbre double et symétrique, Et s'élève feu en fleur, lustre ouvert Un fruit qui se gonfle Au dessus du pacte de la mer et de la terre
De quelle matière Agate, quartz, blé, Ton corps est-il fait? Enflant comme pain au four Pour signaler argentées des collines Le clivage d'un seul pétale Suaves fruits d'un velours profond Jusqu'à demeurée seule Etonnée La délicate et ferme forme féminine
Ce n'est pas seulement la lumière qui tombe sur le monde et se répand à l'intérieur de ton corps Et déjà s'étouffe Sous tant de clarté Prenant congé de toi Comme si tu étais en feu à l'intérieur
La lune vit dans le dessin de ta peau
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15/12/2006 16:45
Tous ces messieurs étaient là-bas Lorsqu'elle entra complètement nue Ils avaient bu et commencèrent à lui cracher dessus Elle ne comprenait rien, elle sortait à peine du fleuve C'était une sirène qui s'était égarée Les insultes couraient sur sa chair lisse L'immondice couvrait ses seins d'or Elle ne savait pas pleurer c'est pourquoi elle ne pleurait pas Elle ne savait pas s'habiller c'est pourquoi elle ne s'habillait pas Ils la tatouèrent avec des cigarettes et des bouchons brûlés Et ils riaient jusqu'à tomber sur le sol de la taverne Elle ne parlait pas car elle ne savait pas parler Ses yeux étaient couleur d'amour lointain Ses bras bâtis de topazes jumeaux Ses lèvres se coupèrent dans la lumière du corail Et tout à coup elle sortit par cette porte À peine entra t-elle dans le fleuve qu'elle fut propre Elle resplendit comme une pierre blanche dans la pluie Et sans se retourner elle nagea à nouveau Elle nagea vers jamais plus vers la mort.
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